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Atteintes à l’intégrité de la personne
Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes
25.11.2023Bruxelles
Près d’une femme sur trois a subi des mauvais traitements au cours de sa vie. En période de crise, les chiffres augmentent, comme on a pu le constater pendant la pandémie de COVID-19 et les récents conflits, crises humanitaires et catastrophes climatiques. Un nouveau rapport d’ONU Femmes, basé sur des données provenant de 13 pays depuis l’apparition de la pandémie, montre que deux femmes sur trois ont déclaré qu’elles, ou une femme qu’elles connaissaient, avaient subi une forme de violence et qu’elles étaient plus susceptibles de faire face à l’insécurité alimentaire. Seulement une femme sur dix a indiqué que les survivantes s’adresseraient à la police pour obtenir de l’aide. Bien qu’elle soit omniprésente, la violence basée sur le genre n’est pas inévitable. Elle peut et doit être évitée. Pour mettre fin à cette violence, il faut commencer par accorder foi aux récits des survivantes, adopter des approches globales et inclusives s’attaquant aux causes profondes, transformer les normes sociales préjudiciables et autonomiser les femmes et les filles. Avec des services essentiels axés sur les survivantes dans les domaines de la police, de la justice, de la santé et des services sociaux, ainsi qu’un financement suffisant pour le programme des droits des femmes, nous pouvons mettre fin à la violence basée sur le genre.Appels d'urgences
En Belgique, il existe deux grands numéros d'urgence :
101
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